Caster Semenya ne sera pas en mesure de continuer à concourir dans les 400 et 800 mètres sans prendre de médicaments qui inhibent ses taux élevés de testostérone naturelle. La décision, adoptée par le Tribunal Arbitral du Sport (TAS), la plus haute autorité en matière de jurisprudence dans le sport professionnel, oblige toutes les femmes DSD (différentes dans le développement de leur sexualité biologique, communément regroupées sous l'étiquette "intersexuels" ") se soigner pour courir.

C'est une phrase historique et très controversée. Son origine remonte à un règlement introduit par la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) il y a un an. Les athlètes DSD étaient obligés de rivaliser avec des niveaux de testostérone inférieurs à 5 nmol / l. La distinction était cruciale: la plupart des femmes produisent des taux inférieurs, compris entre 1,12 et 1,79 nmol / l. Ceux de Semenya et d'autres mediofondistas sont entrés dans la gamme masculine, entre 7,7 nmol / l et 29,4 nmol / l.

Semenya a décidé de faire appel du